Historiks #11 : R.I.P. LOGON
TL;DR
Cet article, dans la continuité du précédent, fait l'étude de "Memory Full", un livre qui prétend décrire l'histoire de la demoscene CPC.
Selon son auteur, le groupe Logon System, n'ayant pas réussi à absorber assez de sang frais, a continué à jouir de son injuste notoriété jusqu'à son déclin et sa mort...
Ce dernier billet conclue l'analyse de ce livre, qui a malheureusement totalement échoué à raconter ce qu'à été la création de la demoscène CPC.
DECLIN D'UNE DYNASTIE...
Lente agonie...
Il est maintenant temps d'étudier la narration de l'agonie de Logon System, qui débute pour l'auteur dès janvier 1991, mais dont le processus est accéléré après l'Euromeeting de 1992....Glirps!
Si Fred fait "Bli", Pict fait "Bla" !
La survie d'un groupe serait donc liée à la fréquence de ce qu'elle produit ?
Logon System produisait du contenu autre que des démos, comme le B-Asic ou les nombreux articles dans A100%, mais ça semble ne pas compter.
C'est comme si on dissertait sur la survie d'un groupe actuel qui n'aurait pas sorti une démo tous les ans 😂 . De nos jours il n'est pas rare que des démos s'écrivent sur des périodes de 5 voire même 14 ans selon les dires de certains...
Logon System existe toujours en 2024 et crée encore du contenu pour le CPC.
L'auteur a également enquêté pour savoir pourquoi Overflow a réalisé une démo en 1992 pour le fanzine T.O.W., et se demande si c'est en réaction au "déclin" du groupe...
C'est simple, nous étions à l'époque très souvent sollicités pour réaliser ce type d'intro ou d'article. Pour ma part, je n'avais juste pas le temps matériel de pouvoir y répondre...
L'auteur semble savoir ce qui se passe dans l'esprit d'un "Overflow ado".
On ne sait pas trop si c'est à cause du déclin de Logon que Overflow a fait cette intro, mais la chose semble actée. La fin approche pour le groupe...
Suite à l'Euromeeting 1992, l'auteur extrapole sur ce que le groupe avait (ou non) produit...
Une fois encore donc, l'auteur est en roue libre totale. Assez hypocritement d'ailleurs, puisqu'il va se perdre en conjonctures ensuite sur ce que nous avions pu commencer à développer (nous allons le voir après)...
Le problème des previews
Afin de bien comprendre pourquoi nous n'avons pas montré (ou très peu) de previews durant l'Euromeeting de 1992, il faut revenir sur l'expérience de The Demo.
Cette démo avait été montrée plusieurs fois en 1990, durant l'Euromeeting 1990 et durant l'Amstrad Expo 1990. Cela avait entrainé quelques plagiats médiocres avant la sortie officielle de la démo (et assez "curieusement", cela n'a pas été évoqué dans l'ouvrage).
Encore de nos jours, montrer une preview peut exposer à des plagiats :
Pour éviter ce type d'attitude, je préférais éviter de montrer des previews, surtout dans un meeting où se rencontraient encore plus de monde en 1992. La plupart des autres membres du groupe partageaient ce point de vue, ayant été témoins des conséquences de ces fuites.
Lorsqu'une "preview" d'une partie d'un travail collectif est montrée publiquement par une personne, c'est sans doute une manière rapide de "démontrer sa valeur" ou de "partager son travail" mais cela entraîne néanmoins plusieurs conséquences néfastes.
C'est dommageable pour les autres participants moins avancés dans leur travail et qui subissent une plus grande pression. Cela diminue l'effet de surprise global et cela peut avoir un effet démotivant pour tout le monde.
Overflow savait que certaines de ses créations (SOTB ou la Delta3D) étaient difficilement intégrables dans une démo. Nous en avions longuement discuté.
Et ce d'autant que les menus de sélection étaient déjà pour nous de l'histoire ancienne. Overflow décrirait mieux que moi la genèse de l'intro SOTB (Shadow of the Beast Cpc Old).
C'était au départ dans la perspective de faire un jeu, avant que cela prenne l'orientation d'un menu bien trop consommateur en place disque. L'information suivante est donc un fake :
L'auteur se demande si KDO (dont le pseudo deviendra ULYSSE) était bien un membre de Logon, mais ne s'est même pas préoccupé de savoir de qui étaient les dessins dans SOTB. La "musique", elle, est de Duffy.
Les tâches de gestion annexe...
En page 74 on découvre que nous étions trop accaparé à gérer notre célébrité et que par conséquent, nous ne produisions plus grand chose...
C'était très long et épuisant de signer des autographes.
De plus, Pict était chargé de cultiver les potirons pour nourrir le groupe. Digit construisait une fusée géante en Lego, et Fred Crazy avait même ouvert une brasserie entre deux concerts. 🍻
La fin arrive...
Sans même savoir ce que nous avions dans nos cartons ou ce que nous faisions, l'auteur conte "le déclin de l'institution Logon" :
Tout y est.
Conflit (fake). Nostalgie avec regrets mélancoliques (fake). Départ de Overflow (fake).
Pour le reste, je renvoie l'auteur à ses charts top 5 tellement la dernière phrase est ridicule dans le principe, et méprisante pour beaucoup d'autres en référence à son échelle de référence "méritocratique".
Si ça continue, on va tous être complètement dépassés dans 2 lignes...
Il ne va quand même pas encore m'accuser d'être un vampire tout de même ?
Intégrer Duncan chez Logon System ? Vous n'y pensez pas !! 😂
Vous la sentez arriver, la fin ?
Je vous parie qu'il va juger le groupe à la seule production d'une démo d'importance en 1992.....
Si on reformule donc, cela rassurait certains de croire que nous étions actifs et à niveau, mais l'auteur conclue que ce n'était pas le cas, sans l'ombre d'une preuve.
Qui sont donc ces nombreuses personnes pour qui Logon ne "tenait plus" qu'à un fil à la sortie de l'Euromeeting 1992. 🤣
On notera la présence "marginale" de Slash.
Je sens que je vais finir par n'être plus que l'ombre de moi-même, incapable de coder, dépassé et écrasé par la gestion de ma "célébrité"...
Le "cherry picking" régulier dans les propos "d'Overflow ado" permet souvent à l'auteur de poser ses désirs comme des réalités.
Même si les différentes sollicitations me ralentissaient, ça faisait partie du jeu et de ma conception du partage d'une passion. Travailler en équipe permet d'ailleurs de se répartir les tâches.
Encore faut il ne pas vouloir tout contrôler... Suivez mon regard...
Et ça m'allait vraiment très bien si l'intérêt se focalisait sur Overflow ou d'autres personnes que moi.
Le dernier numéro de Amstrad 100% "commercial" a été édité en octobre 1993 et nous y avons participé jusqu'à la fin, tout en connaissant de nombreux mois à l'avance la date du dernier numéro.
Nous voulions livrer le maximum d'informations aux utilisateurs en nous répartissant la charge.
Pour ma part en aidant The Cranium à délivrer son article pour le CPC GX+ (N°48) ou délivrer la carte totale des derniers registres de l'ASIC (N°47).
En parallèle dans la rubrique Logon, Digit et Pict ont réalisé des articles dont plusieurs avec du code, dont une démo :
Un dernier sursaut ??
J'espère quand même que l'auteur ne va pas spéculer avec n'importe quoi sur ce que nous préparions alors qu'il vient de raconter que je ne codais plus et que nous vaquions tous à des tâches "annexes"...
Et après ça il n'y a pas de ragots dans ce bouquin... 🙄
Je laisse l'auteur à ses spéculations oiseuses sur l'existence de démos ou de preview Logon non diffusées...
X-Rasters, Démo 4....👻..👻...👻.....👻.........👻............Bouuuhhh!!!
Bien avant 1993, en 1990, il y a eu au moins une démo PC et une demo ATARI ST signée Logon System.
Sur Atari et PC, les codeurs étaient des amis d'étude universitaire. Sur Atari, le pseudo de mon ami Marc était "Logan". Original...😄
Je verrais si je peux retrouver les disquettes originales de ces démos et si il est possible de les transférer. Le premier émulateur capable de faire tourner des démos sur Atari est sorti en 1996.
L'auteur ne sait pas ce que nous allions faire, ne sait pas ce que Overflow faisait (ou pas) et spécule allègrement avec l'idée que le groupe n'existait que grâce à ce dernier ! 🤪
Elle a l'air pas mal cette histoire pour les soirées d'hiver...🦇 🦇 🦇
Le vampire qui agonise car il n'a pas eu le temps d'absorber assez de sang frais.
Je m'étonne quand même que l'auteur n'ait pas ressorti les "histoires" de musiques ST, car c'est quand même un potin qu'il affectionne...
"Ébranlé", le vampire attendait la mort en râlant... Rhaaaaaaa....
De nouveaux Logon ?
Nous allons voir que la personnification constante de la scène démo sert un narratif assez conservateur de transmission générationnelle et de succession, que j'avais déjà abordé dans mon précédent billet.
Ainsi, selon l'auteur, une "scène" ou un "groupe" naît, vit, décline, faiblit, agonise, meurt selon des critères à géométrie variable.
La sortie de "productions" dans un délai personnalisé pour chaque groupe semble être un fil directeur, même si on dénote de nombreuses confusions sur les terminologies informatiques pour qualifier les "productions" ("homebrews" pour des remakes de jeu, "logiciels" pour qualifier des utilitaires,...).
Le "leadership" semble aussi être une thématique chère à l'auteur tant il abuse de termes guerriers pour définir les rapports entre les "entités personnifiées" Longshot versus Overflow/Fefesse, Scène allemande versus Scène Française, Hard versus Soft, Chantal Goya versus AC/DC, ....
Les plus "forts" (pointures de l'époque), les "premiers" (ou les plus visibles) dominent et dirigent tels des "leaders". Il y a une confusion générale entre la date de création d'un "programme" et sa réelle disponibilité dans la scène démo qui vérole littéralement ce montage hiérarchique. L'erreur sur les dates d'émergence des différentes scène démo n'arrange pas les choses.
Même si on ignore cette vision assez effrayante du monde, il n'est pas surprenant ici que l'auteur dissocie Logon System (89-91) de Overflow (92).
C'est une manière peu élégante de mettre tout le reste du groupe aux oubliettes de "l'histoire" pour sans doute traiter le cas "Overflow" ultérieurement, alors que ce dernier s'est étiqueté Logon System jusqu'en avril 1993 (pour y revenir quelques années après d'ailleurs).
N'oublions pas que l'auteur considère que The Demo est une démo somme toute banale et peu innovante, et que ses membres ont usurpé la reconnaissance dont ils ont fait l'objet, tout affairés qu'ils étaient à gérer leur célébrité, chouchoutés par le magazine Amstrad 100%.
Logon System n'a jamais cessé d'exister, et probablement d'inspirer du monde au-delà des années 2000. J'ai parfois rencontré durant ma carrière professionnelle des personnes qui évoquaient Logon au cours de discussions devant la machine à café sur la micro informatique des années 80-90.
Ce n'est pas parce que l'auteur n'a pas les informations sur les activités du groupe après 1993 que ça lui permet de l'enterrer à cette époque.
Le groupe a d'ailleurs, semble t il, continué à inspirer du monde, déjà en 1994 :
Dès 1993, je me suis intéressé aux émulateurs et au transfert du patrimoine numérique sur PC afin d'éviter que tout ne se perde. J'avais conscience de la rapidité exponentielle des évolutions technologiques.
J'ai notamment échangé avec les premiers aventuriers de l'émulation CPC, comme Marco Vieth (auteur de l'émulateur CPCemu) en tentant de l'aider de mon mieux dans cette démarche.
Ayant interviewé Antoine sur son portail il n'aura pas échappé à l'auteur que ce dernier indique que je l'ai contacté en 1999 lorsqu'il a rendu public son émulateur Yage. Et ce n'est qu'un exemple parmi de nombreux autres...
Si aujourd'hui l'auteur peut se permettre de créer des démos et d'en parler, c'est bien parce que la scène a été créée, que l'information a été vulgarisée et que le patrimoine a été transféré !
Contre feu...
Tout au long de ma série de billets, certains ont pu s'émouvoir que j'évoque le dénigrement dont j'ai été la cible durant des années et que j'ai déjà évoqué en préambule de mes articles.
Certains excusent les "erreurs" en indiquant que l'auteur n'avait jamais prétendu détenir la "vérité". En fait il a indiqué en page 5 que "Dans tout travail de ce type, les biais sont inévitables et ne peuvent qu'être signalés en amont, puis minimisés dans la mesure du possible."
Entre quelques erreurs techniques compréhensibles et un récit fictionnel à charge bourré d'erreurs à cause du boycott des sources fiables, il y a un fossé qui a été allègrement franchi.
On peut malheureusement également constater un manque de discernement et une critique à deux vitesses de la part de certaines personnes...
Je tiens à préciser que je me suis attaché à évoquer principalement des éléments factuels et irréfutables.
De manière générale j'ai cité l'intégralité des phrases, la page et dans certains cas la date, et ces citations sont contextualisées.
Je pense avoir l'honnêteté intellectuelle de ne pas dénaturer le sens des citations, à la différence de mes détracteurs.
Ces derniers utilisent d'ailleurs à l'envi un sophisme dit de "généralisation abusive", qui consiste à utiliser un exemple de "démonstration bidonné" pour en faire une généralité sur tous les articles de mon blog.
Cette stratégie démagogique a été utilisée sur quelques réseaux sociaux pour dissuader les personnes de me lire. Pourtant, chacun reste libre de se faire son propre avis.
Mes détracteurs, à court d'arguments, utilisent régulièrement, et depuis des années, une stratégie assez révélatrice qui se vérifie facilement, et qui se résume par :
- "C'était de l'humour et tu n'en as pas"
- "Tu prends la mouche à chaque fois (pour pas grand chose)".
L'auteur et ses comparses ont volontairement ignoré des années que je souhaitais que ce harcèlement cesse. Pourtant, ils savaient que j'allais "prendre la mouche" puisque selon eux, je n'ai pas d'humour. 🙄 Ou du moins, ils pensent en avoir...
La méthode a aussi consisté à étaler tout ça par une accumulation de petites touches ici et là, confinant à un acharnement caractérisé.
On peut également noter l'usage "bien pratique" par quelques personnes de différents pseudos sur certains réseaux sociaux, et la propension à se faire passer pour d'autres personnes en laissant des commentaires qu'ils pensent "amusants".
Ce type de méthode est souvent utilisé par les manipulateurs que sont les pervers narcissiques, qui ont l'art de dénigrer sous couvert de plaisanterie.
La perversion narcissique est largement documentée de nos jours :
En général, ce sont des personnes qui se dissimulent sous le masque de personnes sociables, souvent vues comme des personnes humbles, mais il n’en est rien et ils sont le cauchemar d’une ou plusieurs victimes.
Un pervers narcissique se caractérise par quelques signes distinctifs :
Il a un égo démesuré, adopte une posture de victime (inversion de la charge), dénigre les anciennes relations, est en décalage entre ce qu'il dit et montre publiquement et ce qu'il fait en réalité, a besoin d'attention, manque d'empathie, essaie d'isoler ses victimes, surestime ses capacités, utilise un langage de communication flou et ambigu dans tout ce qu'il dit, met ses victimes en position de faiblesse et est un menteur né.
Pas mal de cases cochées quand même !
Un tome 2 ?
L'auteur évoque un futur second tome...
J'informe ici l'auteur à la date de ce billet (juin 2024) que plusieurs des personnes citées dans le tome 1 ne souhaitent pas figurer dans un tome 2. Étant donné le dénigrement et les propos diffamatoires qui m'ont concernés, j'en fais partie.
L'auteur serait plutôt bien avisé de corriger son tome 1 et, par simple respect des personnes, de contacter celles dont il compte parler dans un tome 2 pour leur demander leur consentement :
On peut aussi légitimement se demander, face à l'objectivité du tome 1, ce que pourrait contenir un tome 2 qui couvrirait une période où l'auteur a lui-même été actif au niveau de la scène démo CPC.
Va-t-il décrire son propre travail avec sa conception toute personnelle de ce qu'est une "bonne démo" (sic). Juge et partie... "C'était une très bonne démo mais mon défaut, c'est d'avoir été trop perfectionniste (et de sentir la lavande)."
Il est déjà prévu une série de questions existentielles qui présagent déjà un mode opératoire assez similaire au tome 1 :
S&KOH a été écrite par Overflow. Cette question ne vous rappelle-t-elle pas le traitement de "The Demo" dans l'ouvrage ? Vous avez donc déjà la réponse si vous m'avez lu.
J'hésite... Il est difficile ce quizz !!
Si certains se demandent pourquoi la scène démo est aujourd'hui divisée et pourquoi plusieurs personnes ne sont vraiment pas les bienvenues dans certains meetings (qui prétendent hypocritement le contraire), je les invite à relire mes billets et imaginer un week-end en petit comité à manger en face de personnes aussi drôles et bien intentionnées... Malaise !
L'un des "cocasses" participants d'un de ces meetings s'est d'ailleurs fait passer pour moi en 2023 (encore...) pour s'inscrire et ainsi ironiser sur ma présence, démontrant ainsi à quel point elle était "inattendue"...
D'autres questions débattues dans le tome 2 ?
Quelques éléments de réponses avec de faux commentaires jugés drôles par certains et posés sur la vitrine Vanity concernant cette production :
Sans vouloir trop "spoiler", un article publié le 5 novembre 2010 sur l'ancien portail Push'N'Pop devrait apporter un début de réponse :
Pour les non anglophones, voici la traduction de ces deux premiers paragraphes...
Dans l'article figure ensuite une critique "technique" (que je n'ai pas reproduite ici) des previews de Overflow, et dont la synthèse est la suivante :
Traduction de cette synthèse empreinte d'un humour désopilant...
L'auteur semble être un vrai spécialiste de l'enfumage et du polissage !
Il a évoqué dans son ouvrage un phénomène de "cancel culture" (sic) sans préciser dans quelle mesure il aurait été empêché de publier quoi que ce soit au cours des dernières années. De l'art d'entretenir le flou...
Étant donné que j'ai été ciblé régulièrement dans le tome 1, je n'attends donc rien de bon d'un tome 2.
Aussi il serait déjà de bon aloi que l'auteur revoie sa copie de fond en comble avec le tome 1.
Épilogue
Ici s'achève cette longue série de billets sur un livre qui a, selon moi, raté son objectif car il a été fait avec de mauvaises intentions, sans concertation et dans le dos des principales personnes concernées et citées.
Le livre est si anarchique que l'auteur ne répond même pas à toutes les questions posées dans son propre préambule.
Un comble lorsqu'on voit le nombre de choses répétées en boucle !
Le livre finit par se résumer à une jungle éparse et impersonnelle de pseudos, de noms de groupes, de noms de démos, souvent comparés inutilement entre eux ou avec des jeux, et gangrenée de potins tout aussi inutiles, et est passé à côté d'une époque.
Je tiens à remercier les lecteurs de m'avoir lu jusqu'au bout, en espérant que ces billets leurs ont apporté un éclairage leur permettant de se faire leur propre avis sur la démarche sous-jacente de cet ouvrage.
Si la lecture peut parfois être difficile, l'analyse des propos n'était pas non plus une partie de plaisir mais il était important que je dispose d'un droit de réponse.
Je reste bien entendu accessible pour toute discussion constructive, aussi bien sûr des aspects techniques qu'historiques.
Je remercie vivement les personnes (qui se reconnaitront) qui m'ont fait des retours constructifs et positifs.
A une prochaine fois...
Longshot / Logon System